Alors que je peignais la série abstraite, celle des visages/paysages et des masques, je peignais aussi des paysages. Or, les paysages de cette période naissent parfois d’un début de peinture qui ne signifiait rien et qui, au fil des touches, devenait un paysage.
D’autres, bien entendu, sont créés volontairement et même si je le mets dans cette série, le Carrefour sous la neige est plus tardif. C’est un regroupement de toiles hétérogènes, mais il faut bien faire des choix !