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Nu
Articles liés à ce mot clé
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Des nus
Mes tout débuts après le pochoir... de la copie de photo, mais pas n'importe quelle photo... les plus jolies femmes du moment.
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Trame
La trame avait un petit côté pochoir dans la mesure où elle doit être découpée au cutter. La grande différence est que "les blancs" ne sont pas nécessairement liés entre eux.
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Des pochoirs 1
Peut-être ce par quoi j'ai eu le plus de plaisir. Ce n'est pas le tirage qui compte, mais la découpe. La conception puis la découpe.
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Esquisses de nus
L'atelier de nus est un endroit où l'on peut s'oublier. Des personnes s'y abandonne et la moindre des politesses est d'en faire autant. En fin de journée, après des heures d'ordinateurs, de code et de problèmes divers, c'était une bouffée d'air.
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Mélange de matériaux - couleur
On pourrait croire que mélanger les matériaux facilite les contrastes, ce n'est pas le cas, cela complique les contrastes, car en plus de la couleurs, de luminosité et de la teinte, le contraste de matière n'est pas forcément heureux.
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Nu d’aplats et de touches
J'ai une théorie, ou plutôt un point de vue : une touche est un petit aplat et un aplat est une grosse touche. Tout dépend du rapport entre la surface à peindre, le pinceau et le support.
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Entre l’aplat et le trait : scènes et paysages
C'est donc bien cette illusion qui m'intéressait : un trait n'est qu'un petit aplat, un aplat un grand trait. Travailler par touche ou par aplat revenait presque au même et seule le rapport de dimension entre le support et le pinceau permet d'en différencier la nature.
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Mélange noir et blanc
Afin de donner du contraste à l'image, je me suis mis à mélanger le crayon, l'encre de Chine, un peu de gouache et parfois de la trame.
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Portrait à l’encre de Chine
Je l'ai déjà dit, mais je le redis : l'encre de Chine est surement la matière la plus noble et la plus difficile que j'ai pratiqué. C'est, par excellence, la matière de l'ombre et de la lumière.
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Entre le trait et l’aplat : nus
À cette période, il m'a semblé trouver quelque chose, un style, une façon à moi, même si ce n'est que présomption de croire que l'on peut, "en art", avoir quelque chose à soi. Ce qu'il me semblait être à moi, c'est cette idée que le trait était un petit aplat et que l'aplat n'était lui-même qu'un gros trait.