Gouache
J’aime la gouache. Diluée, elle ressemble à l’aquarelle, mais en frottis, pâte et demie-pâtes elle peut s’apparenter à l’huile. C’est une matière souple et polyvalente et beaucoup moins chère que l’huile.
La gouache se travaille partout, en extérieur, sur un coin de table, et sur chevalet. Ces techniques sont multiples tout comme ses rendus, et elle possède une certaine réversibilité, même si ce n’est pas toujours possible.
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Traits d’union
Nos humeurs font de nous des êtres différents. C'est peut-être cela que j'ai voulu illustrer avec cette série de visages. Parfois flirtant avec l'abstraction, parfois avec le réalisme, c'est toujours le trait qui fait l'union.
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Parallélépipèdes volants
Je suis surpris de voir combien il est possible de créer d'ambiance, d'illustrer d'humeur avec des touches et des cubes, enfin, quand je dis des cubes, je parle de parallélépipèdes. Mais au-delà de cette recherche, c'est une première approche pour montrer que la touche et l'aplat sont deux aspects de la même chose.
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Des toits de Paris... et une grue
Lorsqu'ils ont monté la grue en face de chez moi, j'ai eu un doute, pourtant, au fil des lumières qui changeaient, de son orientation, cette grue était parfois belle.
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Nu d’aplats et de touches
J'ai une théorie, ou plutôt un point de vue : une touche est un petit aplat et un aplat est une grosse touche. Tout dépend du rapport entre la surface à peindre, le pinceau et le support.
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Des personnages à la gouache
Mes premières gouaches sont des monochromes rouges, copies de photos, mais c'est l'indien qui m'a fait comprendre ce qu'était la gouache.
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Des paysages en gouache
La gouache est peut-être ce qui permet d'être au plus près de l'huile, surtout pour les paysages. C'est un matériau d'étude des plus souples et dont le rendu peut vraiment, sur certaine technique de demi-pâte, se rapprocher de l'huile, la brillance en moins.