Je suis surpris de voir combien il est possible de créer d’ambiance, d’illustrer d’humeur avec des touches et des cubes, enfin, quand je dis des cubes, je parle de parallélépipèdes. Mais au-delà de cette recherche, c’est une première approche pour montrer que la touche et l’aplat sont deux aspects de la même chose.
La touche et l’aplat
Prenez un petit pinceau et mettez une touche de peinture sur un grand support... vous obtiendrez une touche, voir un point si votre pinceau est vraiment petit. Prenez maintenant un gros pinceau et déposez en un geste de la peinture sur le même support : vous obtiendrez un aplat.
Si votre palette est bien gérée et que vos mélanges sont homogènes, vous pourrez créer aussi bien, un aplat par plusieurs coups d’un petit pinceau, que le créer en une fois avec un gros pinceau, et avoir donc une couleur parfaitement homogène. Dans le cas contraire, si votre mélange est hétérogène, que ce soit avec l’une ou l’autre technique, vous pourrez avoir une couleur comportant des variantes au sein de votre surface colorée.
Bien entendu, c’est un résumé rapide d’une idée qui me trotte dans la tête depuis longtemps, et j’y reviendrais surement un jour de façon plus approfondie sur ce site.
Des cubes qui volent
Quant aux parallélépipèdes qui se baladent dans l’espace, flottant, tombant, décollant, atterrissant (?), ils sont une expression d’humeur et peut-être la représentation d’une multitude de choses : nos canaux d’information, nos mouvements collectifs humains, l’abstraction d’humeur...