2002 - 2005
Le lâcher-prise
Quasi exclusivement à l’huile, le travail de cette période est basée sur la non pensée du sujet. Il n’est plus question de définir le sujet avant de peindre, mais de peindre pour voir ce qui en sort.
Doit-on peindre le beau ? C’est justement cette remise en question que je vie à cette époque qui me conduit à ne plus peindre pour plaire mais pour tenter d’exprimer une émotion, une pensée, qu’elle soit belle ou non.
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Paysages semi-abstraits
Alors que je peignais la série abstraite, celle des visages/paysages et des masques, je peignais aussi des paysages. Or, les paysages de cette période naissent parfois d'un début de peinture qui ne signifiait rien et qui, au fil des touches, devenait un paysage.
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Les portraits paysages
L'idée était ici de créer des tableaux que l'on puisse pivoter afin, avec un même tableau, d'en avoir deux.
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Entre le trait et l’aplat : nus
À cette période, il m'a semblé trouver quelque chose, un style, une façon à moi, même si ce n'est que présomption de croire que l'on peut, "en art", avoir quelque chose à soi. Ce qu'il me semblait être à moi, c'est cette idée que le trait était un petit aplat et que l'aplat n'était lui-même qu'un gros trait.
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Des têtes
C’était une période où je n’allais pas très bien. J’étais dans mon 18m carré et je tendais et encollais des toiles le matin, passais la sous-couche sur celle de la veille, et peignais sur celles qui étaient prêtes.
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Deux visages
Une série de double visages, l'histoire d'une rencontre... étape d'une séduction.
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Abstrait
Je ne suis pas un peintre abstrait, mais il fallait bien essayé. Si j'avais un grand atelier, je tenterais autre chose, mais, à l'époque, dans 18m carré, je me suis restreint à cela.