À cette période, il m’a semblé trouver quelque chose, un style, une façon à moi, même si ce n’est que présomption de croire que l’on peut, "en art", avoir quelque chose à soi. Ce qu’il me semblait être à moi, c’est cette idée que le trait était un petit aplat et que l’aplat n’était lui-même qu’un gros trait.
Contrairement à d’autres toiles de la même période, le nu me permettait, en isolant clairement le sujet de son espace, d’expérimenter la relation entre le trait et l’aplat.