Aussi, je vous montre ici mes premières recherches, tout du moins une partie de celles-ci.

Sous-bois et couchant sont des tentatives de rester dans la veine des deux premières huiles. Il s’avère que ce qui est à peu près réussi un jour peut être raté le lendemain ! Il n’y a en art aucune certitude, c’est une remise en question constante !

Je n’ai fait que deux autoportraits, et on a ici le premier. Qu’il soit réussi ou raté au sens d’une bonne ou mauvaise peinture, c’est assez représentatif du moi de l’époque.

Vide est une tentative d’utilisation de médium. Je n’en ai repris que pour la ville s’endormait, n’ayant pas beaucoup d’affinités avec la matière diluée.

Les pots sont deux exercices dans lesquels on retrouve quelque chose qui me suivra tout au long de mon parcours : la diffraction, ou tout du moins le découpage de zone par des lumières différentes.

Petit prince est né d’une envie de faire une peinture apaisante, et la tonnelle est celle de chez mes arrières grands parents (à proximité de Vézelay 89) que j’ai tenté de reproduire de mémoire, et qui, en fin de compte, est assez ressemblante.

Enfin, la ville s’endormait est un tableau en l’hommage à la chanson de Brel que j’ai fait suite au décès de ma mère.