Huile

Lorsque je suis passé à l’huile, j’ai compris ce qu’était l’onctuosité d’une matière, la souplesse et la réponse au geste.
L’huile c’est bon, ça sent bon (sans essence de térébenthine) et la palette reste là, à nous attendre d’un jour au lendemain.
J’ai vite compris que je n’aimais pas le glacis, mais que j’aimais la matière brute, sans artifice. Et quand on commence à peindre dans son studio, on supprime vite l’essence et autre diluant de sa technique !
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Peinture en duo
La peinture est-elle un art solitaire ? Globalement oui. On peint seul. Mais que se passe-t-il lorsque l'on décide de partager sa toile avec un(e) autre ?
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Recherche 2
Je crois qu'il existe trois grandes familles dans la façon de peindre : la touche, l'aplat et le dégradé, chacune de ces familles pouvant se traduire par des techniques différentes rendant infini les possibilités de chaque chemin.
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Des aplats
Qu'on ne s'y trompe pas, peindre en aplat n'est pas comme un coloriage, surtout quand on ne dessine pas les formes qui composent l'image avant de poser la couleur.
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Héroïc-Fantaisie
Ma première exposition et mon premier happening.
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Les premières recherches
Pourquoi ne montrer que ce qui est réussi ? Ce n'est pas le cas ici, car je crois qu'il peut être instructif de voir le chemin parcouru. Néanmoins, qu'on ne s'y trompe pas, ce n’est pas facile de montrer ses échecs en dessin (ou peinture). C’est un peu comme donner en pâture un morceau d’intimité.
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Les premières huiles
La première huile est celle de la Chapelle, la seconde, celle du "bord de l'eau".